Re: [Facil] En Équateur le gouvernement adopte les logiciels libres
Yann SADOK
yann.sadok at tc2l.ca
Lun 5 Fév 10:48:22 EST 2007
Marc,
Il n'y a pas lieu d'imposer le logiciel libre dans les institutions
publiques.
Je peux te garantir - mon job me permet de le savoir réellement - que
cela est en cours et à des échelles dont peut être tu ne te doutes
peut être même pas!!!!!
La volonté vient de très haut et les moyens pour y parvenir
rapidement sont déjà en oeuvre. Mais passer des institutions
publiques de logiciels propriétaires à des logiciels libres ne se
fait pas en claquant des doigts!
Et les entreprises privées comemncent à suire. De la plus grosse à la
plus petite le mouvement est en marche et ce n'est pas en cassant du
sucre sur le dos des bonnes volontés qu'on parviendra à augmenter ce
mouvement de migration vers l'open source.
Quand j'étais plus jeune, mes parents me donnaient souvent un
conseil : Tourne 7 fois ta langue dans ta bouche avant de parler...
Et aujourd'hui mon boss me donne la clé de la réussite : écoute 80%
de ton temps et parle 20%, tu n'en seras que plus respecté. Je me
suis longtemps tu ici avant d'intervenir...
Peut être de bonnes résolutions à prendre.
Yann
Le 07-02-05 à 08:35, Marc Angles a écrit :
> Le Mon, 05 Feb 2007 07:21:50 -0500
> Fabian Rodriguez <magicfab at member.fsf.org> disait :
>
>> En Équateur le gouvernement s'aprête à mettre en place des politiques
>> visant à encourager l'utilisation des logiciels libres à l'échelle
>> nationale, à travers tous ses ministères et organisations.
>
> ÇA C'est un vrai couriel raffraichissant pour les toutes et les
> tousses.
>
>> Les efforts et projets de transition vers les logiciels libres
>> d'étaleront sur plusieurs années et le gouvernement mise surtout sur
>> l'information et la formation, en partenariat avec les universités du
>> pays qui seront gouvernées par de nouvelles politiques et programmes
>> d'études touchant les logiciels libres.
>
> À souligner *en partenariat avec les universités*
>
>> On mentionne même que les fournisseurs et éditeurs de logiciels
>> devront s'adapter pour pouvoir continuer de prêter leur services au
>> gouvernement.
>
> Un revers de la main pour ce qu'on appele les entreprises privées.
> Peuvent bien pleurnicher haut et fort, ils se targuent d'être
> innovant ? Qu'ils innovent.
>
> Donc avec ces deux derniers éléments on peut démontrer qu'on peut, si
> on en a la volonté, imposer les logiciels libres dans les
> administrations publiques avec l'aides des insttutions publiques et
> des organismes communautaires en demandant au privé de suivre ou
> d'aller
> voir ailleurs.
>
> bravo.
>
> --
> Marco
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