[Facil] Publications

Stéphane Couture steph at koumbit.org
Jeu 8 Juin 15:31:11 EDT 2006


Bonjour Christian,

   je suis un peu fatigué de cette guerre et j'ai un peu de difficulté à
comprendre l'ampleur des frustrations en jeu. Je tiens d'abord à
remercier Christian, Patrick, Valérie et tous les autres, pour le
travail que vous avez fait pour l'organisation de la CLLAP.  J'espère
bien que des collaborations paisibles seront encore possibles. 

Je vais me mouiller un peu, car il me semble de ma responsabilité, comme
administrateur de FACIL, de prendre position ici.  D'abord, je suis
d'accord avec toi qu'il est malheureux et fâcheux que des courriels, ou
des bouts de courriel, qui étaient supposés demeuré privés soient rendus
publics.  Mais je comprends toutefois cette décision de Valérie et
d'autres de nous avoir partagé ces extraits, dont certains
m'apparaissent être à la limite du harcèlement.

D'abord, j'aimerais comprendre une fois pour toute, à titre de nouvel
administrateur de FACIL, la relation entre FACIL et la CLLAP.  Je ne
veux pas revenir en arrière, sur chaque communiqués, qui a le crédit et
tout; il y a toujours des erreurs et des luttes de pouvoir dans
l'organisation de projets et c'est bien normal. Mais peut-on, une fois
pour toute, m'éclairer sur la forme que prendra cette relation d'ici la
fermeture du dossier, et celle que l'on voudrait voir pour la prochaine
édition de la CLLAP?  Par ailleurs, vous reconnaîtrez qu'il est légitime
que FACIL fasse la promotion de ses activités un peu partout, y compris
à la CLLAP.

Concernant l'intransigeance de FACIL, je suis désolé, mais je ne suis
pas d'accord avec toi.  Si ça peut être effectivement l'impression que
t'ont donné certains membres actifs, sache que ce n'est pas la mienne.
Je ne suis d'ailleurs au courant d'aucune prise de position officielle
de FACIL proposant un usage unilatéral du logiciel libre.  Je crois
qu'il est bien évident pour tous qu'on doit avancer à petits pas, mais
de façon constante et en regardant vers l'avant.  Comme le dit si bien
l'un de mes amis: "La route est longue, mais elle est libre". 

Pour entrer dans les débats plus sociologiques, je ne suis pas non plus
d'accord avec toi sur la nécessité absolue de considérer avant tout les
besoins des utilisateurs dans la promotion du logiciel libre.  L'une des
caractéristiques de l'univers du libre est justement de remettre en
question cette séparation entre le concepteur et l'usager pour plutôt
proposer un modèle où ce sont les usagers eux-mêmes qui construisent les
logiciels, à partir de leurs propres besoins.  Von Hippel, professeur en
management au MIT parle ainsi d'innovation par l'usage tandis que
Dominique Cardon de France Telecom parle pour sa part d'innovation
ascendante pour décrire ce phénomène. 

Dans cette perspective, on peut appréhender le logiciel libre sous
différentes façons: sous l'angle de l'usage, mais aussi sous l'angle du
développement économique, comme c'est la position au Brésil ou du
Vénezuela.  Ou, comme le mentionnait un intervenant à la CLLAP, on peut
appréhender le développement de logiciel (libre) sous la forme d'une
production culturelle, un peu comme l'industrie du film, ou sous un
angle éthique ou légale, celui d'avoir le droit d'accéder aux contenus
techniques, ou bien de conserver la production logicielle comme bien
commun (Philippe Aigrain, Cause Commune), favorisant ainsi l'émergence
d'un espace public ou sont débattus les choix techniques.

Je te l'accorde, le problème de diffuser le logiciel libre auprès des
usagers disposant de moins de compétences techniques est réel, mais
c'est aussi un problème très complexe qu'on ne résoudra pas dans cet
échange.  Je te demanderais donc, Christian, de faire preuve de patience
et d'ouverture d'esprit en prenant part au débat et à participer avec
les autres pour trouver des solutions dans ce sens: la route est longue,
mais elle est libre. 

S'il y a effectivement une culture (politique) au sein de FACIL à
laquelle certain ne sont pas habitué, celà ne signifie pas pour autant
qu'il y ait intransigeance, mais bien que le logiciel libre peut être
appréhendé selon différentes perspectives. 

Stéphane Couture

---

Aigrain Philippe, Cause commune : l'information entre bien commun et
propriété, Éditions Fayard, février 2005:
http://www.causecommune.org/

Cardon Dominique, De l'innovation ascendante, InternetActu, entrevue par
Hubert Guillaud, 2005.
http://www.internetactu.net/index.php?p=5995

Jullien, Nicolas, Zimmerman, Jean-Benoît, Peut-on envisager une écologie
du logiciel libre favorable aux nuls?, Cahier de recherche, Môle
Armoricain de Recherche sur la Société de l'information et les usages
d'Internet (MARSOIN), Numéro 9-2005, novembre 2005.
http://www.marsouin.org/article.php3?id_article=57

Von Hippel, Eric, « Open Source Software as horizontal innovation
networks – by and for users », MIT Sloan School of Management W.P.
N.4366-01, 2002.
http://web.mit.edu/evhippel/www/papers/UserInnovNetworksMgtSci.pdf


Le jeudi 08 juin 2006 à 13:37 -0400, Christian Aubry a écrit :
> Bonjour,
> 
> Autant prévenir tout de suite : a priori, je compte faire de ce message 
> ma seule intervention longue sur ce sujet. Je n'ai pas l'intention de 
> contribuer trop longtemps à mon propre lynchage et si j'émets d'autres 
> commentaires sur cette question, ils seront brefs et, si possible, 
> circonstanciés.
> 
> 1) Les citations incomplètes que Valérie a produites dans son précédent 
> message proviennent d'un échange privé entre elle-même, Patrice Caron, 
> Robin Millette et moi à propos d'un projet de rapport final de la CLLAP 
> 2006. Je n'ai jamais eu peur d'exprimer mes opinions en public. Je suis 
> toujours prêt à en assumer les conséquences, voire à présenter des 
> excuses si je me suis trompé, car, contrairement à d'autres, je ne 
> m'estime détenteur d'aucune vérité suprême. Ceci dit, lorsque j'ai des 
> conversations privées avec des gens, mes propos ne sont pas destinés à 
> se retrouver hors contexte sur la place publique et je trouve 
> extrêmement fâcheux et dégueulasse de les y afficher ainsi, par bribes, 
> sans même m'en demander la permission.
> 
> 2) Si ces propos vous étaient parvenus dans leur contexte (voir plus 
> bas), vous auriez découvert, au départ, un document de 25 pages produit 
> par Valérie à titre d'acte de conférence de la CLLAP. Personnellement, 
> je ne vois pas l'intérêt de produire un tel document puisque (1) il ne 
> s'agit pas d'un colloque purement scientifique, mais d'une conférence 
> technique, administrative et commerciale, et que, donc, nous ne sommes 
> pas tenus de singer l'Académie des sciences. Par ailleurs et surrtout 
> (2), nous sommes en 2006 et le site Web de la CLLAP constitue déjà, à 
> lui seul, un acte de conférence tout à fait convenable. Il n'y avait 
> qu'à y rajouter les résultats de sondage et statistiques préparés par 
> Valérie, commentés correctement et avec retenue, ainsi que les documents 
> électroniques encore manquants, pour conclure.
> 
> 3) Ceci étant dit, je me suis livré à la révision demandée par Valérie à 
> Patrice, Sylvain Carle (qui a ensuite demandé à ne pas poursuivre la 
> conversation), Christian Dionne (MSG) et moi. J'ai été le seul à le 
> faire en détail, corrigeant toutes les fautes et coquilles que je 
> trouvais et donnant mon opinion et mes recommandations sur la forme et 
> le fond. Je vous passe les corrections de détails effectuées dans un but 
> constructif afin d'en arriver à l'essentiel des propos cités.
> 
> 4) La phrase « C'est cette déformation des choses qui s'installe un peu 
> trop vite dans les communications de FACIL que je conteste » était 
> précédée par une citation de Sylvain qui justifiait que FACIL se serve 
> de ce rapport comme d'un
> outil de promotion associative à mon avis excessive et déplacée en 
> disant que « C'est le payback d'avoir assumé le risque de produire 
> l'évènement. » Je comprends ce que Sylvain veut dire et je respecte 
> l'homme autant que ses opinions, mais je lui ai effectivement et 
> loyalement fait remarquer que « FACIL n'a *pas* produit l'événement, ni 
> l'an dernier, ni cette année. C'est cette déformation des choses qui 
> s'installe un peu trop vite dans les communications de FACIL que je 
> conteste. »
> 
> La déformation est, entre autres, assez évidente dans la soi-disant « 
> entrevue » publiée sur @-Brest (qui est en fait, apprend-on, un texte 
> élaboré et approuvé dans ses moindres détails par le CA) : « Nos 
> intentions sont de maintenir un rythme d’activité entre la Semaine 
> Québecoise de l’Informatique Libre (SQIL <http://sqil.info/>) qui a lieu 
> chaque année en Novembre et la CLLAP <http://www.cllap.qc.ca/2006/> qui 
> a lieu en Mai. » Le communiqué émis par FACIL il y a quelques jours 
> ouvre par ailleurs le fameux projet de rapport final, accentuant cette 
> espèce d'appropriation associative d'un événement dont la préparation et 
> la gestion ont été beaucoup plus informels, collectifs et hétérogènes 
> que cela. Les remerciements très laconiques des uns et des autres ne 
> suffit pas à effacer cette impression de « prise de contrôle » excessive.
> 
> Pour ma part, je continue de penser que la seule approche viable, pour 
> une promotion réelle et efficace des logiciels libres, est celle qui 
> privilégie, avant toute autre considération, les besoins réels et 
> pragmatiques des *utilisateurs* en y faisant correspondre des solutions 
> libres et ouvertes, lorsqu'elles existent ou lorsqu'elles peuvent 
> facilement être mises en place, et en respectant le pluralisme et la 
> diversité des usages et des opinions de chacun.
> 
> En remplaçant cette approche ouverte, mais à petits pas, par un corpus 
> d'idées préconçues et des méthodes d'argumentation dogmatiques qui ne 
> supportent aucune dissidence interne ou externe, en imposant à 
> l'avant-scène des considérations trop systématiquement idéologiques, on 
> est peut-être politiquement correct, mais pratiquement contre-productif. 
> Une affirmation qui me vaut, aujourd'hui, un procès populaire aux 
> relents de Chasse aux sorcières.
> 
> Quelqu'un m'a récemment rappelé cette boutade d'Yvon Deschamps : « Avec 
> le capitalisme, l'homme est un loup pour l'homme; avec le communisme, 
> c'est le contraire ». J'ai l'impression que nous sommes dans une 
> position similaire où il n'y aurait de choix qu'entre deux 
> totalitarismes : celui, propriétaire et liberticide, d'une certaine 
> entreprise de la côte Ouest et celui, soit disant « libre », à condition 
> de s'imposer comme la seule liberté acceptable, que Marc ou Valérie 
> défendent bec et ongles, systématiquement.
> 
> Il y a quelques temps, FACIL était une association plus souple, plus 
> humble aussi, plus inclusive qu'exclusive, cherchant à être au bon 
> endroit, en bonne compagnie et au bon moment plutôt que d'excommunier 
> ses propres membres et d'accumuler contre les dissidents des dossiers de 
> courriels prêts à être exhibés. Je me sentais bien dans cette 
> association. Je pouvais y être ce que je suis, en bonne intelligence 
> avec des personnes et des groupes aux opinions pas forcément identiques 
> aux miennes, mais réellement ouvertes et complémentaires. Petit à petit, 
> nous apprenions à nous connaître et à nous rapprocher, avec comme seul 
> objectif la compréhension et l'appropriation collective d'une 
> informatique réellement libre et ouverte.
> 
> Ce n'est plus le cas, semble-t-il, et c'est pourquoi je profère 
> maintenant « les énormités de Christian Aubry le démissionnaire », pour 
> reprendre l'une des formulations assez méprisantes, merci, de « Marc 
> Angles le commissaire politique ». Un autre grand libertaire m'a traité 
> ici de « portefeuille bien garni » sans rien savoir de ma situation 
> financière qui n'a rien de reluisant, mais traduisant clairement sa 
> logique étriquée de lutte des classes.
> 
> Heureusement pour nous, nous vivons à une époque ou d'autres visions 
> sont possibles. Les écologistes disent « ni à droite, ni à gauche, en 
> avant ». Dans cette logique plus constructive, nul ne prétend être 
> parfait mais peut s'engager dans la bonne direction. C'est cette 
> attitude qu'il faut défendre à la table de la CLLAP et d'autres 
> initiatives multipôlaires où tous ne sont pas purs et convaincus à 100 
> %, ne vous en déplaise. C'est cette attitude que FACIL, à mon avis, 
> devrait privilégier, mais je prends acte qu'il est péché de la défendre 
> publiquement, aux yeux de certains. Même lors de discussions de travail 
> privées.
> 
> Pour votre information un peu plus complète, je reproduis intégralement 
> le message de commentaire original que j'ai envoyé à Valérie. Le message 
> de Marco auquel je réagis par la présente suit juste après.
> 
> Ami Calmant,
> ---------------------------------------------------------
> Christian Aubry Economie Logique Communications
> T/F: 514-907-4521 Cel: 501-9368 www.economielogique.com
> Courriel: Christian at Aubry.com Skype:amicalmant
> MSNM:amical57 at hotmail.com Yahoo:caubry57
> Jabber:amicalmant at linux-quebec.org ICQ:5573348
> ---------------------------------------------------------
> 
> Le 2006-06-07 à 13:40, j'ai écrit :
> > Valérie Dagrain a écrit :
> >> Veuillez trouver ci-joint le document final sur la CLLAP 2006.
> >> En attente de vos suggestions ou corrections avant de le mettre à 
> >> disposition. 
> >
> > Vous trouverez, ci-joint, le fichier PDF avec mes suggestions de 
> > corrections sur la forme et sur le fond. Sur la forme, il s'agit des 
> > corrections orthographiques et grammaticales que j'ai pu relever. Sur 
> > le fond, c'est un peu plus « coton » et je vais tenter de résumer mon 
> > point de vue ici.
> >
> > Si cette publication est signée de FACIL, je n'ai rien de très 
> > pertinent à en dire, si ce n'est que je ne suis plus membre de FACIL 
> > depuis le mois dernier et qu'il faudrait donc corriger la mention qui 
> > me concerne. Pour mémoire, je me suis engagé dans la CLLAP à titre 
> > personnel et je n'ai affiché la bannière de FACIL, le 1er février, que 
> > parce que je venais de quitter le RISQ et que mon entreprise était 
> > encore en gestation. La correction est certainement possible, puisque 
> > Denis Fecteau a été ajouté à cette pseudo liste du 1er février alors 
> > qu'il n'est entré lui-même en piste que bien plus tard.
> >
> > Si, en revanche, il s'agit d'une communication officielle de la CLLAP, 
> > je suis très défavorable à sa formulation actuelle, à tous les égards, 
> > et notamment :
> >
> > 1) à la place d'honneur que FACIL s'y arroge, comme s'il elle se 
> > livrait à une « OPA » en règle sur l'événement. On dirait qu'elle s'en 
> > sert comme d'un outil servant d'abord et avant tout à assurer sa 
> > promotion. Mes notes relèvent mille exemple de ce détournement 
> > déplorable. Citons simplement ici le texte des pages 3-4 qui n'a pas 
> > d'autre but que de glorifier FACIL et ses chevaux de bataille au 
> > détriment des autres acteurs de la conférences, cités du bout des 
> > lèvres, à titre de faire-valoir. Or, rappellons que FACIL n'a assuré 
> > *que* la coordination et le support administratif de l'événement dont 
> > la maîtrise d'oeuvre reste et restera, j'espère, collégiale. Nous 
> > aurons l'occasion d'en reparler très concrètement le 20 juin prochain.
> >
> > 2) à la re-publication intégrale du programme préliminaire. Ce texte a 
> > eu son utilité, mais il est maintenant chose du passé et un bilan 
> > n'est pas, à mon avis, la même chose qu'une archive exhaustive de tout 
> > ce qui s'est dit et fait. Il faudrait donc élaborer un nouveau texte 
> > dans une perspective de bilan, retirant au passage ce qui est obsolète 
> > (appel à communications, frais d'inscription, programme de commandite, 
> > etc).
> >
> > 3) à l'exhibition du processus d'organisation (partie 3, paragraphes 
> > 1, e et 3), qui aurait peut-être sa place dans un travail d'archive 
> > universitaire, à l'extrême rigueur, mais pas dans un public dont les 
> > vertus cardinales devraient être la clarté, la simplicité et la 
> > concision.
> >
> > 4) à la publication du formulaire de sondage des participants, pour 
> > les mêmes raisons.
> >
> > 5) à la publication exhaustive de tous les sites Web (sous réserve 
> > qu'il en manque) qui ont parlé de l'événement. Vu le caractère 
> > confidentiel ou hors cible de la plupart d'entre eux, j'opterais 
> > plutôt pour une formule du genre « Best Of » en basant la sélection 
> > sur des critères à la fois quantitatifs (visibilité induite) et 
> > qualitatifs (pertinence avec le thème de la conférence). Que Christian 
> > Aubry ou Joe Blau en ait parlé sur son blogue, cela n'est pas très 
> > intéressant et cela fait un peu scolaire.
> >
> > Bon, j'espère n'avoir pas trop noirci le trait et que nous arriverons 
> > à nous entendre afin de sortir un rapport final qui est de l'allure. 
> > En l'état actuel, je vote résolument contre et j'attends que les 
> > autres membres des comités de coordination et logistique, ainsi que M. 
> > le président de FACIL :) prennent position.
> 
> 
> Le 2006-06-08 à 12:58 Marc Angles a écrit :
> > On Thu, 08 Jun 2006 09:40:40 -0400
> > Valerie Dagrain <vdagrain at free.fr> wrote:
> >
> >> "Christian A. a écrit : C'est cette déformation des choses qui s'installe un peu trop vite dans les communications de FACIL que je conteste. À preuve cet article assez étonnant publié par... wanda (alias Valérie) et mettant en scène FACIL (???) interrogé par... Michel Briand.
> >> ....Du coup, FACIL devrait faire preuve de beaucoup plus d'humilité, je pense, et s'inscrire dans une équipe plutôt que par-dessus cette équipe. Sinon, c'en est fait de sa neutralité et il faudra tout repenser pour l'an prochain.
> >> Car, par ailleurs, je tiens à vous dire que j'ai eu plusieurs échos informels de gens qui ont bien aimé la conférence mais qui ont trouvé que les considérations philosophiques et communautaires y prenaient un peu trop de place au détriment des "vraies affaires" -- entendez, les informations concrètes et pragmatiques qui intéressent les décideurs locaux.
> >
> > C'est drôle mais personnellement j'étais à la CLLAP et je n'ai pas eu
> > le même genre d'écho. Mais c'est interressant. Surtout, ça pourrait
> > nous aider, nous ou ceux qui organiseront la prochaine CLLAP ou des
> > événements similaires. Ça aiderait d'avoir ces témoignages. Pour
> > comprendre ce qu'il faut faire ou ne pas faire. Dire ou ne pas dire etc.
> >
> > Évidement il faut parler des vrais affaires. Il ne faut surtout cacher
> > la vérité au vrai monde du terrain. Hein ? Quand on fait l;a promotion
> > du libre, il ne faut pas oublier de dire que Linux, quand même, c'est
> > bien joli, mais les vrais gens, euxc, les gens sérieux ne peuvent pas
> > se passer de logiciels propriétaires !
> >
> > Et c'est vrai que les considération philosophique c'est pas des vrais
> > affaires. Ce ne sont que de basses idées basées sur des interet
> > personnels de certains dans FACIL qui ne pensent qu'à leur petits
> > interets personnels... 
> >
> > Et les considératins communautaires ! Parlons
> > en ! C'est pas des vrais affaires ça ! Si on insiste trop sur le coté
> > communautaire du développement des LL ou des contenus libres, ben ça va
> > tout foutre en l'air. 
> >
> > Je suis certain de beaucoup sur cette liste en lisant les énormités de
> > Christian Aubry le démissionnaire, auront envi d'en savoir plus.
> > Pourquoi Christian Auby, ex membre de FACIL harcelles t il Valerie
> > Dagrain ? Pourquoi, au fond a t il participé à l'organisation de la
> > CLLAP aupres des membres de FACIL qui a présidé le collège
> > organisateur ? Si maintenant il crache abondament sur FACIL auprès des
> > organisateurs de la CLLAP ainsi qu'auprès des gens du gouvernement ?
> >
> > Il ne me semble pas qu'il y ait eu une seule fermeture du coté de
> > FACIL. J'écris ce mail en tant que simple membre de FACIL ainsi qu'en
> > tant que membre du CA. Bien que dans sa lettre de déission (désolé elle
> > est non publique mais croustillante d'abérations), il y ait plein de
> > provocations et de sous entendu qui me font penser qu'il aimerait qu'on
> > le censure pour de bon, et en fait il semblerait que sa stratégie ne
> > soit celle de celui qui attaque avec traitrise et qui voudrait ensuite
> > se faire passer pour une victime. 
> >
> > Personnellement je suis ouvert aux débats, je pense que le CA aussi.
> > Les éunons sont ouvertes et *n'importe* qui qui aurait des critiques à
> > faire sur FACIL peut le faire ici, sur le wiki et aux réunions,
> > ateliers etc. Alors ne vous génez pas pour apporter des commentaires et
> > des critiques. 
> >
> > Meci à Christian AubrY qui, au fond, nous aide à mieux réaliser chaque
> > jour, qu'il faut toujours regarder ou l'on marche...
> >
> > --
> > Marco
> >
> >
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